MERCREDI 5 MAI 2009 - 2ème jour.
L'habituelle séance des cours de danses a été, aujourd'hui, avancée d'une heure. C'est donc dès 9h. que nous avons commencé les répétitions. En effet, la chorégraphe avait des obligations impératives en fin de matinée, qu'elle ne pouvait absolument pas remettre.
C'est à 13h. que nous avons pris la route en direction de Slimnic, une ville située à 16 kilomètres au nord de Sibiu.
Après l'ascention d'un sentier assez escarpé, nous avons pu visiter les ruines d'une citadelle et une église évangélique. Ici, encore, le prêtre de l'endroit a tenu à entrer dans les détails de toute l'histoire de l'endroit et notamment de l'influence allemande sur la région, qui subsiste encore de nos jour.
On pourrait seulement regretter la longueur de l'exposé qui, à la fin, avait du mal à garder l'attention de tous les participants...
C'est à 13h. que nous avons pris la route en direction de Slimnic, une ville située à 16 kilomètres au nord de Sibiu.
Après l'ascention d'un sentier assez escarpé, nous avons pu visiter les ruines d'une citadelle et une église évangélique. Ici, encore, le prêtre de l'endroit a tenu à entrer dans les détails de toute l'histoire de l'endroit et notamment de l'influence allemande sur la région, qui subsiste encore de nos jour.
On pourrait seulement regretter la longueur de l'exposé qui, à la fin, avait du mal à garder l'attention de tous les participants...
C'est seulement vers 15h. que nous avons repris la route pour Medias situé quelque 40 km encore plus au nord.
Silviu avait la projet de visiter l'église principale de Medias mais, après le moment de détente, destiné à visiter la ville, nous avons eu la déception de voir les portes de l'église verrouillées jusqu'au lendemain. Enfin, ce sera pour la prochaine fois...
Silviu avait la projet de visiter l'église principale de Medias mais, après le moment de détente, destiné à visiter la ville, nous avons eu la déception de voir les portes de l'église verrouillées jusqu'au lendemain. Enfin, ce sera pour la prochaine fois...
Sur la route qui nous a ensuite emmené vers Bogaciu (encore 35 km plus au nord), nous avons dû affronter des passages plus que scabreux.
A Bogaciu nous avons commencer par visiter une maison dédicacée aux costumes folkloriques de l'endroit. Nous avons pu y essayer tout ce que nous voulions mais n'avons rien pu y acheter.
Après avoir visité l'église de la localité (une de plus), nous nous sommes rendu dans une "Penzion" qui a comme particularité de ne recevoir presqu'exclusivement des Danois. C'est grâce à eux, surtout grâce à une Roumaine vivant au Danemark et organisant des séjours ici à Bogaciu, qu'une telle infrastructure a pu voir le jour et se développer au cours des année dans ce petit village loin de tout.
C'est donc ici qu'était prévu le souper, un immense barbecue précédé d'une délicieuse soupe roumaine. pendant le repas nous avons eu droit à 2 spectacle.
Le premier, un peu basique, consistait en une prestation de danseurs tziganes (des enfants pour la plupart) qui nous ont présenté une improvisation tzigane de près d'une demie heure, très répétitive et sans grand intérêt si ce n'est leurs costumes.
Le premier, un peu basique, consistait en une prestation de danseurs tziganes (des enfants pour la plupart) qui nous ont présenté une improvisation tzigane de près d'une demie heure, très répétitive et sans grand intérêt si ce n'est leurs costumes.
Par contre, la suite a été beaucoup plus intéressante. Il s'agissait d'un spectacle donné par les habitants du village et qui était d'une rare qualité pour des non-professionnels. Nous avons passé un très bon moment en leur compagnie et ils nous ont montré de très belles choses. De plus leurs costumes nous ont séduit par leur simplicité de couleurs et par la richesse de leurs broderies.
Après la dernière prestation d'un couple en costumes hongrois, sans grand intérêt, le bal a été ouvert et on peut dire, sans risque de se tromper, que l'orchestre était bien meilleur dans les rythmes modernes (genre rock, valse et tango) que dans les musiques folkloriques qu'ils nous ont offertes pendand les pectacles des danseurs.
C'est encore bien tard que nous avons regagné notre hôtel distant de quelque 80 kilomètres, après une soirée somme toute pas si mal, mais trop formatée "touristes" à notre goût. On peut d'ailleurs en dire autant pour l'ensemble de ce voyage; Silviu ne nous avait pas habitué, précédemment, à ce genre d'endroits et à ce genre de rencontres. Personnellement, nous préférions l'ancienne version !