Arménie.
Le Duduk (doo-dook prononcé) est considéré plus l' "Arménien" de tous les instruments folkloriques en raison de ses origines arméniennes et de sa capacité d'exprimer honnêtement les émotions des arméniens. Il a une histoire de 1500 ans et est indigène en Arménie bien qu'il y ait des variantes jouées en Turquie, Géorgie, et en Azerbaïdjan. Le duduk reflète la passion, la célébration, et la souffrance de l'Arménie. Aram Khatchadourian une fois que dit que le duduk est le seul instrument qui lui a fait le cri. Le bruit soulful du duduk a récemment été dans les mercis de projecteur de musique du monde à l'artiste musical Peter Gabriel. Gabriel a intégré le duduk dans ses enregistrements comprenant la bande sonore à la dernière tentation du Christ et nous maître arménien Djivan Gasparyan de duduk également a récemment enregistré avec des ruisseaux de Michael de guitarist. Le duduk est un instrument cylindrique fait du bois d'abricot et en en général 28, 33, ou 40 centimètres de longueur. Il a 8 ou 9 trous et 1 encoche à pouce qui fournissent une gamme d'une octave. Le double roseau, également connu sous le nom de ramish ou yegheg dans l'Arménien, est en général 9-14 centimètre, dans la longueur et est entouré par une attache du bois flexible mince qui glisse sur la longueur du roseau. Cette attache est employée pour accorder le duduk en tant qu'elle commande l'opening/closing du roseau. Le roseau lui-même se développe abondant le long du fleuve d'Arax en Arménie. Le bruit du duduk est chaud, mou, et a un timbre légèrement nasal. La dynamique du bruit est commandée en ajustant la pression des lèvres sur le roseau et en couvrant les trous de doigt. Bien que le duduk soit accordé pour être "non trempé et diatonic" des notes chromatiques peuvent être obtenues en couvrant partiellement les trous de doigt. Le duduk est typiquement joué dans les paires avec le duduk de fil jouant la mélodie et le deuxième duduk jouant soutenues lancé appelé le barrage. Le barrage est un bourdon tonique qui sert de counterpoint constant à la mélodie. Le joueur du barrage, appelé le damkash, maintient ce bourdon en employant une technique de respiration circulaire. Ce procédé implique d'inhaler par le nez et de stocker l'air dans soufflé vers le haut des joues tout en maintenant la pression de lèvre sur le roseau. Le duduk est également typiquement accompagné avec un dhol, le tambour arménien à côté double. Le dhol est connu pour ses rythmes arméniens de danse d'upbeat. Cependant, même lorsque le duduk joue les chansons de déplorent le contact doux du dhol fournit un fond approprié.
Sources : Zangezur et Net.Armenie
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