|
|
  |
Obscure ouvrière de l'orchestre, son chant majestueux donne toute l'ampleur et la profondeur des grandes pages de la littérature classique. Elle est encore parfois ignorée du public, ou même des auteurs, et des luthiers, malgré les -rares- oeuvres et solistes passionnants qui se sont révélés à ce jour. Le jazz a su accueillir cette encombrante partenaire et lui offrir une place de choix et des solistes exceptionnels, largement ovationnés par les afficionados. Elle est accordée à l'inverse du violon : SOL-RÉ-LA-MI. Sa tessiture correspondrait à la voix masculine grave. |