JOGGING BELGIQUE-ROUMANIE     
Du 22 juin au 25 août 2008.

ARTICLES PARUS DANS LA PRESSE.

***** BELGIQUE *****
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"Vers l'Avenir",
le 13 juin 2008 :
"Passe-Partout",
le 16 avril 2008 :
"La Nouvelle Gazette",
le 27 mars 2008 :
"La Nouvelle Gazette",
le 9 juillet 2008 :
"La Dernière Heure",
le 27 mars 2008 :

"Le Trait d'Union",
septembre 2008 :


***** ALLEMAGNE *****
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"Odenwälder Nachrichten",
le 25 avril 2008
:



Traduction :

On recherche logement.
Le bourgmestre, Werner Schuchmann, a reçu, de ces jours-ci, une demande de Belgique. Un professeur de Vitrival, en Belgique, demande s'il serait possible d'obtenir un hébergement, sans frais et pour une nuit, à Ober-Ramstadt ou une de ses communes.
Le professeur belge, qui enseigne les danses roumaines, aimerait, cette année, courir de Belgique vers la Roumanie entre le 22 juin et le 25 août. Pendant son périple à pied de 1.950 km, il s'arrêtera le vendredi 4 juillet à Ober-Ramstadt. Les personne qui voudraient mettre un hébergement gratuit à la disposition du professeur, peut se mettre directement en relation avec lui.
On peut le joindre à l'adresse : Pierre Parent, chaussée de Charleroi, 123 - 5070 Vitrival, Belgique, Téléphone 0032/ 71 742889 ou par mail : pierre-le-belge@orange.fr
(Odenwälder Nachrichten 25.04.2008)
(Traduction de Sylvie Daubresse)
"Darmstädter Echo",
le 7 juillet 2008
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Traduction :

Jogging-Marathon - Le Belge Pierre Parent projette de se rendre en Roumanie en 5 étapes, et fera 2 étapes dans notre district.

OBER-RAMSTADT. Le Belge Pierre Parent ne semble pas fatiqué. Vendredi, il a voyagé de Eschollbrücken à Wersau. Non pas simplement en marchant à son aise, mais bien en trois heures et 40 minutes, en courant. La plupart du temps sur la route, il a seulement emprunté de temps en temps une piste cyclable. Il a tracé, sur la carte, une ligne droite qui relie son point de départ belge, Vitrival, à Dorna Arini, son objectif, au nord-est de la Roumanie. Cela fait 1.950 km en 65 étapes de 30 kilomètres par jour. Il a couru, en moyenne, à huit kilomètres à l'heure. Il est parti le 22 juin pour arriver le 25 août dans les Carpathes.
"L'idée est un peu folle", explique-t-il gaiement lors du dîner à Ober-Ramstadt, le soir de l'étape du 13ème jour. Un de ses amis lui a raconté son pèlerinage à Saint Jacques de Compostelle et lui a donné l'idée de ce voyage. "La personne en question n'est pas non plus particulièrement sportive», conclut-il ironiquement. Donc, il a pensé, en tant que passionné de jogging lui-même, pouvoir rallier la Roumanie vu son plaisir à courir.
Pour l'ex-informaticien dans une banque, a alors suivi, la planification du périple avec son épouse Eliane. Les deux débrouillards se sont mis à contacter les maires des villes des étapes avec comme objectif, la demande de logements gratuits pour leurs différentes étapes, car le prix des hôtels était prohibitifs pour eux pour ce projet. Pour cela, ils ont envoyé plus de 700 emails pour obtenir ces hébergements.
Avec succès, surtout en Allemagne et en Autriche, ils ont eu des réactions positives. Jusqu'à 16 nuits, le plus souvent en Hongrie et en Roumanie, ils ont obtenu des logements. Toutefois, ils ne sont pas toujours sités juste à l'étape. Vu que Eliane, suit en voiture, pas de problème. Ainsi, elle a conduit jusqu'à Wersau et également chez Reinhard Fliß à Ober-Ramstadt. Ce dernier a reçu l'appel du maire: "Des professeurs belges de danses roumaines recherchent un logement pour la nuit." Parce que Fliß est un passionné de danses grecques, et qu'il parle aussi le français, il a pensé immédiatement : «D'accord».
Maintenant, les deux échangent leurs idées au sujet de leurs hobbys respectfs. Fliß parle du groupe de danse pour hommes seulement, dont il est membre. Pierre Parent peut-être très jaloux, car il l'informe que, dans son groupe belge, il y a seulement 4 hommes pour 25 femmes. "Pas facile d'être le chef d'autant de dames", explique-t-il, avec une lueur malicieuse dans les yeux. Toutefois, il est allé avec son groupe à un festival de folklore régional, le Festival Danse roumaine à Dorna Arini. C'est chaque année, la fin du mois d'août, que se déroule ce festival, ce qui a aussi influencé la date de ce voyage.
Interrogé sur ses expériences précédentes, il déclare : «Les gens que je rencontre sont tous cordialement accueillants". C'est pourquoi, il regrette que, chaque matin, il lui faille partir. Il a complètement oublié de se ménager des jours de repos au cours de sa tournée : "Pourquoi? - Courir est comme une drogue. Lorsque je ne cours pas, je ne me sens pas bien."
Pierre Parent a rencontré précédemment, Helmut et Monika à Pfungstadt et il s'est apperçu que son hôte avait exactement le même âge que lui, au jour près. Pour le sexagénaire, chaque étape est l'occasion de rencontres. Il ne faut pas oublier le charmant compliment à son épouse : "Sans elle, je ne pourrais pas faire tout cela."
Tous les dix kilomètres Eliane Parent attend son mari dans la voiture, lit et résout des mots croisés, jusqu'à ce qu'il arrive. Puis, Pierre boit quelque chose et mange un morceau de chocolat. Ou bien ils pique-niquent ensemble. Quatre paires de chaussures ont été prévues "au cas-où". Il n'y a pas de problème de pied jusqu'à présent. C'est peut-être grâce à son entraînement à la danse, que le le sympathique coureur tient sa forme.
Pierre Parent rédige un journal quotidien sur internet. On peut le suivre dans son voyage sur http://www.vitrifolk.be/voyages-2008-dorna-arini.html.
"Tauber-Zeitung",
le 10 juillet 2008
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Traduction :

Pierre Parent court avec le bourgmestre.
Une passion commune lie les deux hommes - En 65 jours de la Belgique à la Roumanie.
Pierre "le Belge" court avec le bourgmestre d'Igersheim, Franz Menikheim. L'envie du sport les réunit.

Igerheim. Où une volonté existe, existe aussi une voie! Deux hommes, qui ne se connaissaient pas, et qui cependant s'adonnent à la même passion, ont, samedi, relié leurs chemins pendant une heure pour concrétiser leurs projets : Pierre Parent, connu également sous le surnom de "Pierre le Belge", en 65 jours et sur 1.950 km, relier la Belgique à la Roumanie et le bourgmestre Menikheim, aussi bien comme maire que comme marathonien, n'abandonne jamais pour atteindre son but.
Pierre Parent est un homme plein d'esprit et de vigueur. L'informaticien de 60 ans, au corps entraîné, filandreux et même presque ascétique, sait se moquer de lui-même en souriant. Lors de sa recherche de logement, il a reçu un accord immédiat à Igersheim où il a été invité, avec son épouse et accompagnatrice, Eliane, à passer la nuit à l'auberge "Zum Löwen".
Mais qu'est-ce qui motive cet ascète? Certainement, l'envie de marcher; toute sa vie, il a aimé marcher. Maintenant que son épouse est à la retraite également, il peut maintenant réaliser son rêve avec elle.
Eliane accompagne Pierre en voiture d'étape en étape; parfois, elle roule à sa vitesse de course et discute alors avec lui. Avec leurs valises, ils seront ensemble pendant 2 mois et demi.
Et pourquoi tout cela? Parce que Pierre Parent peut s'acharner pour réaliser un projet.
Pierre dirige un grand groupe de danses folkloriques à Vitrival en Belgique. Il apprécie tout particulièrement les danses folkloriques roumaines. Un jour, un contact a eu lieu lors de la rencontre avec des danseurs de Vatra Dornei en Roumanie. Là-bas, se déroule un grand festival le 31 août 2008. C'est clair que Pierre veut y aller.
Mais, quand même, pourquoi y aller à pied? 1.950 km, ce n'est déjà pas si mal en voiture. L'idée de courir cette distance en 65 étapes de 30 km lui est venue lorsqu'il rencontra un homme ayant marché cette distance de Belgique à Saint-Jacques de Compostelle en Espagne. Celui-là n'avait pas l'air d'un sportif. "Si lui l'a réussi, je peux le faire également!". C'est à ce moment que l'idée du voyage s'est concrétisée. Après les tests de santé, les mois de prépération au PC et l'entraînement sportif, le voyage-jogging de 65 jours a commencé le 22 juin avec une fin prévue au festival de danses.
Le mardi 8 juillet, pendant une heure, Pierre Parent a couru dans Igersheim, en compagnie du maire, pendant la 16ème étape d'Unterbalbach à Craintal; ce dernier n'a pas laissé échapper cette chance. Pendant la course sur cette distance, une conversation intensive s'est déroulée entre les 2 sportifs chez qui les jambes fonctionnent automatiquement pendant que les têtes réfléchissent.
Pierre Parent arrivera à Vatra Dornei en Roumanie, si tout se passe bien. Celui qui veut l'accompagner dans son voyage ambitieux peur le retrouver sur internet à l'adresse : http://www.vitrifolk.be/voyages/voyages.html.

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"Hardheim",
le 9 juillet 2008
:


Un Belge veut venir à bout de 1950 km à pied.
Pierre Parent s'est arrêté dimanche et lundi à Hardheim, dans sa marxhe extraordinaire vers la Roumanie..
Le Belge Pierre Parent veut parcourur 1950 kilomètres à pied de son village natal, Vitrival en Belgique, jusqu'à Dorna Arini en Roumanie. Au cours de ce voyage à la distance impressionnante, il a fait arrêt à Hardheim, la nuit de dimanche à lundi. grâce au bon accueil de la famille Helmut Walz et du bourgmestre Héribert Fouquet, il fut bien hébergé à l'hôtel "Badischer Hof" avant de se remettre en route, lundi, pour l'étape suivante en direction de Taubertal.
       Pierre Parent est un grand fan de la Roumanie et, en même temps, professeur de danses folkloriques roumaines. Depuis le 22 juin, il est en route vers son but - ma foi encore bien éloigné - dans les Carpates, qu'il souhaite atteindre le 25 août.
       Conformément à spn planning d'étapes préparé avec grande précision, il veut parcourir la distance en 65 étapes quotidiennes de 30 kilomètres chacunes. Ce Belge parcours ses étapes journalières en joggon, en courant, pour atteindre les buts respectifs et les lieux d'hébergement.
       Il est accompagné de son épouse qu'il retrouve toujours à un endroit préalablement établi, au cours de la journée, pendant son circuit sans aucun doute éprouvant. Ceci garanti le déroulement sans acroc de ce projet intéressant ainsi que le bien-être du coureur.
       Marianne Walz, patronne de l'hôtel "Badischer Hof" qui l'a accueilli à hardheim a également participé à la petite réception donnée par le bourgmestre Héribert Fouquet, lundi matin. Pierre Parent donna des informations sur l'idée, la planification et la réalisation, jusqu'ici, de son projet et se montra particulièrement honoré du bon accueil de ses hôtes qu'il avait contactés par e-mail et à qui il avait demandé un hébergement si possible gratuit. Le coureur s'est réjouit de l'accueil sympathique à Hardheim et fut informé par le bourgmestre, pendant sa visite à l'hôtel de ville, de toutes les choses intéressantes concernant la localité. En fit partie, la référence au grand poète Goethe qui logea dans la même maison que lui.
Texte sous la photo :
Le Belge Pierre Parent veut parcourir, à pied, les 1950 kilomètres entre son village natal jusqu'en Roumanie. De dimanche à lundi, il s'est arrêté à Hardheim où il a trouvé un bon accueil chez Marianne Walz au "Badischer Hof". Le bourgmestre salua le courageux coureur, lundi, à l'hôtel de ville. Photo : Zegewitz.

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"Neumarkt",
le 13 juillet 2008
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Traduction :
En rouge : Propos inventés par les journalistes !!!!!

Le professeur coureur couche dans un lit douillet
Sport extrême. Pierre Parent est le "Forrest Gump de Belgique" et n'a qu'un seul but : arriver en Roumanie dans 44 jours.

Neumarkt. Il n'a pas du tout l'air épuise, ce Monsieur Pierre Parent. On ne dirait pas que ce Monsieur de Vitrival a déjà 60 ans, c'est probablement dû aux 30 kms qu'il parcourt journellement en courant depuis maintenant 21 jours. Il lui reste encore 44 étapes similaires devant lui et alors, ce professeur de danses roumaines arrivera à Dorna Arini en Roumanie. "Si tout va bien", ironise-t-il. Il est confiant. "Il y a quelques années, j'ai couru sur le chemin de St-Jacques de Compostelle", dit-il, "Comme l'apôtre, seulement, lui, il est mort", ajoute-t-il en ricanant.
Il y a donc de fortes chances pour que l'homme, préparé au mieux, vienne à bout de la distance de 1.950 km en 65 étapes. Surtout s'il est accueilli aussi chaleureusement qu'à l'hôtel Stern, dans la vieille ville, et dont le gérant, Roland Schelhorn, aide les coureurs. la ville de Neumarkt l'aurait approché et lui aurait demandé d'offrir une nuitée gratuite, avec petit déjeuner, au Forrest Gump belge.

Une nuit gratuite à l'hôtel.
Le co-sponsor de la course annuelle municipale a, bien sûr, dit oui. Et c'est ainsi que Pierre Parent a pu, une fois de plus, passer la nuit dans un hôtel confortable et n'a pas dû, comme il y a quelques jours, dormir dans une salle de gym qu'on lui avait attribuée comme logement. Où était-ce? Passons l'éponge là-dessus. En tous cas, il n'y a que 7 étapes sur l'ensemble du voyage où le sportif n'a pas trouvé de logement gratuit. L'Allemagne, qu'il ne connaissait pas auparavant, lui plaît beaucoup jusqu'à présent. "J'envisage d'y passer une fois des vacanes", dit Pierre Parent. Peut-être même dans la région de Neumarkt qui, il est vrai, l'a accueilli, pour le temps, d'une façon peu agrable sous une pluie persistante.

La passion a commencé à l'âge de 33 ans.
C'est à l'âge de 33 ans que Pierre Parent a commencé à courir et il y a vite pris goût. Le plus agréable, c'est l'impression de bien-être provoquée par l'endorphine, explique-t-il d'un ton docte. Le plus pénible, pat contre, est de courir sous la pluie avec les verres de lunettes embués. Cependant, il s'en est tité, jusqu'à présent, sans blessure. "La plupart du temps, la météo a été clémente". Du reste, le coureur de fond ne vit pas de façon si ascétique que cela pendant son "tour". Il apprécie la bonne cuisine typique régionale et n'a rien contre une petite bière en soirée. Le plus souvent, Pierre Parent était hébergé chez des particuliers. Il a notamment déjà logé chez 3 bourgmestre, raconte-t-il.
Il a même parcouru 10 kilomètres avec le chef de la ville d'Igersheim an der Tauber dans le Baden-Württenberg. ce sportif amateur extraordinaire est assisté au mieux par son épouse Eliane qui le suit en transports en commun. Les 3 enfants et les 3 petits-enfants le bombardent quotidiennement de messages SMS. Il est temps de clôturer la converstaion.
La prochaine étape sera pour demain. Aujourd'hui, elle allait de Braunshof via Schöllnhof, Freystadt, Thannhausen et Rocksdorf jusqu'à Wettenhofen. Probablement sous la pluie continue, on ne peut rien y faire. Enfin... le 25 août, le temps sera meilleur dans les Carpathes, espérons-le.

Roland Schelhorn de l'hôtel Stern a servi de "protecteur", ce week-end, à Pierre Parent qui court de Belgique jusqu'en Roumanie et qui a fait étape à Neumarckt.

Le voyage de Monsieur Pierre Parent
- Monsieur pierre Parent a 60 ans vient de Belgique et court 30 kilomètres par jour.
- C'est le 21ème jour et il lui reste 44 étapes (de 30 kilomètres) à parcourir.
- Le professeur de danses roulaines va jusqu'à Dorna Arini en Roumanie.
- Bien assisté par son épouse Eliane, ce sportif amateur qui le suit en transports en commun.
"Odenwälder Nachrichten",
le 18 juillet 2008
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Traduction :

Photo : Pierre Parent, un professeur belge de danses est, pour l'instant, en chemin, en jogging, de son village natal de Vitrival en Belgique vers Dorna Arini dans le nord-est des Carpathes, en Roumanie. A Ober-Ramstadt, lui et son épouse Eliane, furent reçu par le bourgmestre Werner Schuchmann.

Un professeur belge de danses roumaines court vers la Roumanie.

Pierre Parent, un professeur belge de danses roumaines est, pour l'instant en train de courir de son village natal de Vitrival vers Dorna Arini, dans le nord-est des Carpathes roumaines. Il a divisé la distance de 1950 km en 65 étapes journalières de 30 km chacune. Sa vitesse moyenne est, le plus souvent, de plus de 8 km/h.
La 13ème étape l'a conduit, le 5 juillet, de Eschollbrüchen à Wersau via Ober-Ramstadt.
De là, son épouse Eliane, qui l'accompagne en voiture, l'a ramené chez leurs hôtes à Ober-Ramstadt, Maria Siemensmeyer et Reinhard Fliβ. A Ober-Ramstadt, ils furent salués par le bourgmestre Werner Schuchmann.
Alors que Pierre Parent dirige, depuis de nombreuses années, un groupe de folklore roumain, Reinhard Fliβ danse, depuis 15 ans, dans un groupe composés uniquement d'hommes, comprenant plus de 20 participants et ayant comme devise "Messieurs, dansez comme Sorbas!" Les 2 danseurs ont profité de l'occasion pour un échange d'expériences concernant leur hobby.
Pierre Parent, 60 ans, veut arriver à Dorna Arini ke 25 août, juste à temps pour le festival de folklore qui y a lieu, chaque année, fin août.
Celui qui veut suivre sa course et veut voir ses comptes rendus d'étapes illustrés de photos, en a l'occasion sur internet (via Internet-Explorer) sur son site http://www.vitrifolk.be.
(Odenwälder Nachrichten 18.07.2008)
(Traduction de Sylvie Daubresse)


***** AUTRICHE *****
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"Melker Zeitung",
le 29 juillet 2008
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Traduction :

Melk a été la 34ème étape pour Pierre Parent, qui court de Vitrival, en Belgique, jusqu'à Dona Arini, en Roumanie. L'échevin des Sprots de la ville de Melk, Herbert Blecha, a félicité le "professeur de danses roumaine, courant" et luia remis quelques petits cadeaux. Parent va accomplir les 1.950 kilomètres en 65 étapes de 30 kilomètres par jour, du 22 juin au 25 août, accompagné par son épouse Eliane qui le suit en voiture.



***** HONGRIE *****
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"Vasárnapi Kisalföld",
le 13 juillet 2008
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Traduction :

Le Forrest Gump belge est à Gönyű

Un jour le Forrest Gump du film a commencé à courir et il ne s’est pas arrêté pendant longtemps. Peut-être c’est le célèbre film qui a servi d'exemple au professeur de danse belge qui se prépare à aller du Benelux en Roumanie et tout cela à pied ! Une chose est certaine : dans son pays les journaux de Bruxelles appellent Pierre Parent, avec une royale simplicité, «le Forrest Gump belge». Il est également certain que le pèlerin arrivera bientôt à Gönyű. Pierre a demandé aux habitants, bien accueillants, de Gönyű de pouvoir se reposer une nuit, avec sa femme, dans ce calme petit village.


Pierre Parent va faire cette distance, non négligeable, de 1950 km entre la Belgique et la Roumanie à pied et en courant. Pierre prévoit de courir ou de se promener 30 km par jour en 65 étapes. Des photos seront prises en route et, plus tard, un livre, illustré avec ces photos, sera également publié.
Il a commencé le 22 juin et si, tout se passe bien, il arrivera à destination en Roumanie le 25 août. Plus précisément ils arriveront, parce que le professeur de danses belge, devenu coureur amateur, sera accompagné, en voiture, par son épouse. Il a déjà accompli la grande partie de la route, il arrivera dans notre département probablement le 2 août. La 42ème étape pour son point de repos est Gönyű.
Pierre s’est adressé aux habitants accueillants de Gönyű : il a demandé de pouvoir se reposer une nuit avec sa femme dans ce petit village calme. Monsieur Major József, bourgmestre, a diffusé la demande du coureur belge sur plusieurs forums, entre autres via le club du journal « kisalföld.hu » à Gönyű. La demande de Pierre fut entendue et, grâce à la famille Hécz, il a pu passer une nuit tranquille dans le village. La famille a proposé ses services à l'aventurier belge; il pourrait loger avec sa femme à la Panzió Anker appartenant à cette famille. «Nous avons entendu l’appel et nous avons tout de suite proposé notre aide. Les conditions sont données, pourquoi pas ? Nous avons déjà tout négocié avec l’organisateur.» - a dit Hécz Dàniel, le généreux directeur de la pension.
En attendant, cours Forrest cours !
(Pardavi Mariann)

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"Kisafold.hu",
le 7 août 2008
:


Traduction :

Le Forest Gump belge arrive à Gönyü!

Comme nous l'avons écrit dans le Kisalföld du 13 Juillet, Pierre Parent professeur de danses belge, a commencé une course de Belgique vers la Roumanie. Durant ce long voyage de 1.950 km, il fait pris une pause dans notre petit village pour se reposer.
Après les 30 kilomètres, parcourus tous les jours, il a passé 2 soirées à la "Pension Anker", à l'invitation de la famille Hecz. De cette manière, nous avons eu la chance de nous rencontrer et d'apprendre à nous connaître les uns les autres. (La suite de la traduction prochainement, dès réception de notre traducteur hongrois).
"Vasárnapi Kisalföld",
le 17 août 2008
:


Traduction :

Traduction en cours...


***** ROUMANIE *****
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"Mesagerul",
le 1er septembre 2008
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Traduction :

De Belgique, en Roumanie, à pied.

J'ai rencontré un Belge la semaine dernière à Nasaud, rue Badea Cârţan. Le téméraire s'appelle Pierre Parent et a atteint "la ville de l'académicien" à la suite du voyage à pied qui a commencé à Vitrival, sa ville natale, et a, comme point d'arrivée, une commune du district de Suceava, Dorna Arini, où il arrivera le prochain week-end. Pierre Parent nous a déclaré qu'il avait pris la route le juin 22, la ville Năsăud étant l'avant-dernière des 65 étapes de l'itinéraire, qui a traversé l'Allemagne, l'Autriche et la Hongrie, parcourant ainsi 1950 km. "Savez-vous que votre pays est le plus beau de tous le parcours, à la fois par sa splendide nature, ainsi que par la gentillesse et l'hospitalité des habitants"; nous avons remercié le Belge, qui va bientôt avoir 60 ans. "Nous avons préparé ce voyage depuis plus d'un an, et sur tout l'itinéraire j'ai été assisté par ma femme, Liane". Chaque jour, nous avons parcouru 30 km et je peux dire que ce fut une expérience des plus intéressantes», a conclu notre interlocuteur, qui a été reçu à Năsăud par les responsables locaux et a eu une réunion avec le vice-maire hongrois Ovidiu.
Radu Sîrbu
"Monitorul",
le 2 septembre 2008
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Traduction :

Un ami de la Roumanie.
Une promenade à pied de 1.950 km pour atteindre le festival de "Cântecul Cetinii"
Pendant deux jours, dans la commune de Dorna Arini s'est déroulé le Festival "Cântecul Cetinii", qui se composait de musique, de chants et qui permis des échanges culturels.
A propos de l'importance du festival, Ioan Moraru, maire de la commune de Dorna Arini, a déclaré qu' "il est normal, une fois une année, après beaucoup de travail, d'avoir la fête du village, de se rencontrer, amis, frères, voisins, clients, habitants du village ou du monde entier, clients de l'étranger et du pays. Permettez-Dieu de diffuser l'écho ce festival à la fois le pays et à l'étranger."
Il a également indiqué que, pour ce festival, Pierre Parent est parti à pied de Belgique, de la localité de Vitrival, pour Dorna Arini où il a des relations amicales. Il a voyagé 1.950 km, en courant allègrement et le 26 août a atteint la 12ème édition XII du Festival "Cântecul Cetinii" une des plus anciennes manifestations rurales du bassin Dornelor.

Pierre Parent, de Vitrival, un grand fan de la Roumanie.
Pierre Parent Vitrival est un professeur de danse roumaines et un grand fan de la Roumanie. Il a appris les secrets des danses de Bucovine, il y a quelques années, avec un instituteur de Dorna Arini, Florin Lateş, dirigeant de l'ensemble folklorique "Brăduleţul." Ensuite, un rapprochement et une amitié se sont crées le groupe de Dorna Arini et le groupe "Vitrifolk" de Fosses-la-Ville-Vitrival, le groupe dirigé par Pierre Parent, qui a, dans son répertoire, de nombreuses danses folkloriques roumaines.
Pierre Parent, de Vitrival est parti le 22 juin à 10 heures et est arrivé à Vatra Dornei, le 25 août à environ 17 heures, la distance de 1950 km entre les deux villes étant couverte en 65 étapes d'environ 30 km.
"Nous venons à Dorna Arini chaque année et en 2004, nous sommes venus à ce festival avec notre groupe. Des Roumains de Dorna Arini sont venus en Belgique, et cet échange culturel est devenu une tradition. Le motif pour lequel nous avons décidé de venir à Dorna Arini est le Festival "Cântecul Cetinii." Je suis heureux d'être venu ici parce que nous avons déjà beaucoup d'amis ici, à Dorna Arini, notamment entre les membres de notre groupe et les habitants locaux», nous a dit Pierre Parent.

Le festival.
Samedi, la scène installée sur le terrain de sports ont évolué Călin Brăteanu le soliste de la formation Record, le groupe Datina et le groupe humoristique Spitalul 9. Le soir, le festival a été clôturé par une soirée en plein air.
Le spectacle du dimanche a commencé avec la fanfare municipale de Vatra Dornei accompagnée de ses amis et a duré jusqu'à près de minuit. La fanfare a été suivie, après quelques minutes par les interventions du député Dumitru Pardău et du maire Ion Moraru. Ont également évulué sur la scène : l'ensemble folklorique "Brăduleţul" de Dorna Arini, l'ensemble "Dorna Dorului" de Vatra Dornei, Andreea Chisăliţă, l'ensemble "Străjierii Bucovine" de Pojorâta, l'ensemble "Sărata Galbenă" de la République Moldave, Marius Zgâianu, Irina Loghin, Laura Haidău, les soeurs Kish, Lorena.
Stelian Borhan


***** APRES LE VOYAGE *****
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"Infor-Dapo" - Brabant,
le 6 novembre 2008
:

"Partenaire-Partener",
le 30 novembre 2008
:


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