N° 5 - Le 6 janvier 1977   |
SOUS LA LOUPE |
VITRIVAL A L'HONNEUR :
LE 29 novembre 1976, l'Administration Communale de Vitrival a reçu en ses locaux quelques personnes du village pour les décorer. Messieurs Louis PRINSEN, Roland IPPERCIEL, Maurice DAFFE, Roger CHARLIER, ont reçu leur diplôme de Lauréat du Travail Médaille de Bronze. Ils avaient reçu le 06/12/69 la Médaille de 2de Classe. Messieurs Jacques LOUIS et Yvon DAFFE ont reçu le diplôme de Cadet du Travail Etoile d'Argent. Monsieur Joseph BESOMBE a, quant à lui, reçu le siplôme de Lauréat du Travail Médaille d'Argent. Il avait reçu celle de Bronze il y a 5 ans. Nous présentons nos plus vives félicitations à tous ces diplômés. MARIAGE A VITRIVAL : Monsieur Silvano PAVONE de Vitrival et Mademoiselle Elisabeth SCHWEIG de Mettet seront unis par les liens du mariage le 15 janvier 1977. La cérémonie civile se fera à la Maison Communale de Mettet; l'office religieux aura lieu en l'Eglise St-Martin à Tamines. SOUPER PAROISSIAL A VITRIVAL : Le samedi 5 février 1977 à 20h., aura lieu, à la Salle Aptria à Vitrival, le Souper Paroissial de la Chandeleur. Nous vous en reparlerons plus en détails dans notre prochain numéro. CHERS ABONNES, CECI VOUS CONCERNE : Vous, et vos amis, êtes cordialement invités au dépouillement public du Concours Temps-Mort, qui aura lieu le samedi 22 janvier 1977 à 20 heures précises à la Salle des Mariages de Le Roux, sur la place communale. L'entrée est gratuite et chaque abonné qui désire se proposer comme assesseur recevra un numéro à son entrée dans la salle. Ces numéros désigneront, par tirage au sort, les assesseurs du jury. Le président du jury des assesseurs sera Mr Daniel TILMANT de Le Roux. Durant ce dépouillement, un bar sera mis à la disposition de ceux dont l'attente du résultat angoissera. De la musique assurera l'ambiance avant, pendant et... après le dépouillement. UN CONFRERE EST MORT : C'est avec stupéfaction que nous venons d'apprendre la disparition du journal "LE MESSAGER". Ce qui est fort triste, à notre avis, c'est le fait d'avoir été si près de devenir centenaire, en effet deux ans à peine le séparaient encore de cet honneur auquel peu de journaux locaux ont pu prétendre. Enfin, Temps-Mort espère ne pas connaître la même mésaventure et ainsi permettre peut-être à ses futurs successeurs de l'amener centenaire. Adieu, cher confrère, nous te regretterons !  La Direction |
INFO-CLUB - VOLLEY-VITRIVAL |
28 novembre 1976 - SPY - VITRIVAL
Réserves : 0 - 3 (3-15 / 12-15 / 2-15) Premières : 0 - 3 (4-15 / 2-15 / 7-15) Vitrival déplace seulement 8 joueuses (Myriam, Agnès, Jocelyne et Anita étant absentes). Malgré ce handicat, les 2 formations de Vitrival n'éprouvent guère de difficultés à prendre la mesure d'une équipe de Spy certes volontaire mais encore inexpérimentée. Le vent violent qui balayait le terrain compliqua la tâche des joueuses et ne permit aucune construction efficace; aussi le match se limita-t-il presqu'uniquement en une bataille de services entre les 2 équipes. Vitrival se montra, dans ce domaine, largement supérieur à son adversaire grâce à des services plus percutants et plus précis. Partie facile pour l'équipe de Vitrival, mais intéressante dans le sens qu'elle a permis d'introduire dans le match première, de nouvelles joueuses (Catherine, Marie-Madeleine et Christine) qui ont montré de réelles possibilités. 4 décembre 1976 - VITRIVAL - AGASSE (Gembloux) Réserves : 0 - 3 (9-15 / 5-15 / 12/15) Vitrival aligne seulement 6 joueuses; celles-ci se défendront honorablement face à une équipe supérieure : elles se sont fort bien accrochées lors du dernier set; mais une victoire partielle eut été "trop humiliante" pour les Gembloutoises face à de petites villageoises... Premières : 0-3 (3-15 / 6-15 / 3-15) Vitrival est privé de 3 titulaires (Delphina, Carinne et Christine); c'en est trop pour unevaleureuse équipe qui n'a que son courage et son opiniâtreté à opposer aux "cogneuses" de Gembloux. Dommage, pour cette bonne équipe d'Agasse, de ne pas être un peu plus sympathique... (elles ne se sont sans doute pas plus amusées que les Vitrivaloises). ARSIMONT - VITRIVAL Premières : 3 - 1 (16-14 / 13-15 / 15-0 / 15-6) Derby important pour Vitrival face à la sympathique formation d'Arsimont; une absente de marque : Myriam. Malgré ce handicap, nos joueuses prennent un départ de choix dans le 1er set pour mener allègrement 9/1, mais c'était sans connaître l'opiniâtreté et la détermination d'Arsimont qui grignote son retard pour finalement l'emporter après une longue bataille de services et de nombreuses balles de set. Le 2ème set sera également très disputé, Vitrival maintenant un écart minimum jusqu'à la fin d'un set très valable pour les 2 équipes. Les 3ème et 4ème sets verront l'effondrement des Vitrivaloises qui ne verront pratiquement plus une balle face aux frappeuses d'Arsimont. Nos "petites" ne pouvant pas contrer efficacement les "grands formats" adverses, ce sera la débâcle. Incapables de reconstruire convenablement, elles laissèrent les joueuses de Watelet imposer leur jeu plus puissant et ne parvinrent plus jamais à reprendre le dessus... c'est sans aucun doute leur plus gros défaut. |
Philippe SPINEUX |
PLEINS FEUX SUR... ANDRE SPINEUX |
 
Monsieur Spineux est, sans conteste, un des hommes les plus connus de la région... tant par l'ampleur de ses activités que par ses qualités humaines; ces quelques lignes se proposent de vous le faire connaître un peu mieux si c'est possible.
 
C'est à Ermeton-sur-Biert qu'il voit le jour le 4 octobre 1908, d'un père bourrelier dans ce vieux village, et d'une mère, modiste, originaire d'Annevoie-Rouillon. Dès l'école gardienne, il fait preuve de qualités particulières puisqu'il lit couramment avant d'aborder les primaires qu'il fera à l'école d'Ermeton; il y connaît d'ailleurs alors la condition de réfugié en octobre 1914. Quant à ses moyennes, il les passe aux "frères" à Florennes où il s'est fait des copains qu'il revoit de temps en temps. Tout jeune, il lui arrivait de lire le journal ("Le Courrier de Bruxelles") à son père travaillant dans son atelier.
  De 24 à 28, il travaille comme employé à tout faire dans un magasin de Maredsous et, à cette époque, il devient secrétaire-fondateur d'une société de secours mutuel. En 28 et 29, il fait son service militaire au 13ème de ligne à Namur pendant 10 mois en qualité de téléphoniste-signaleur et il y obtient même le grade de caporal... C'est là-bas qu'il fit la connaissance de Louis PETTIAUX, qui se fixa par la suite à Vitrival. En 31, il vient à Vitrival et y fait d'une pierre 2 coups : il remet sur pied la mutuelle Ste-Barbe et... y fait la connaissance de sa future épouse, Germaine BASTIN.   De 29 à 39, il est secrétaire de rédaction au journal "L"Union Sociale", hebdomadaire tiré à 15.000 exemplaires. Son mariage, postposé par suite de la mobilisation est célébré le 25 mars 1940 alors qu'il se trouve sous les drapeaux. Il échappe à la captivité et rentre à Vitrival où sa femme ne reviendra que 4 mois plus tard. Dans les pyrénées, elle avait reçu, par tout un concours de circonstances, un télégramme disant simplement : "Mari démobilisé, cultive à Vitrival". Monsieur Spineux travaillait, en effet, comme ouvrier agricole avec Auguste CHAPELLE.   Devenu comptable à la Fédération des Mutualités Chrétiennes à Namur, il habite le 1er décembre 1940, la maison de la rue de Mettet où sont nés leurs 5 enfants : Hervé (9/41), Benoît (9/43), Simon (5/46), Bernadette (12/47) et Philippe (7/49).   En 46, Monsieur Spineux est promu inspecteur de l'Alliance Nationale des Mutualités Chrétiennes, ce qui l'amène, jusqu'à sa retraite en 1973, à sillonner toute la Belgique par les moyens de transport en commun ou... dans la voiture des autres. Il est en même temps professeur à l'Ecole Sociale de Louvain (Institut Cardyn) et, tout au long de sa carrière, il lutte avec acharnement pour défendre les intérêts des handicapés, cherchant à résoudre leurs nombreux problèmes.   Pensez-vous que la retraite de Mr Spineux soit un retrait du monde ? Que non ! Il est encore président de la Fédération Namuroise des Mutualités Chrétiennes et président de réalisations concrètes pour les handicapés, réalisations dont il est d'ailleurs le fondateur : les ateliers protégés de Namur, les instituts médico-pédagogiques de Malonne et de Suarlée, etc... Il nous avoue cependant s'imposer du repos et une sieste d'au moins une heure et demie qu'il consacre à la lecture des journaux.   Autant de travail et la possibilité de se relaxer, c'est là un bel exemple et le grand secret des hommes actifs. Quand on pense que, comme loisirs de 54 à 71, il trouvait le temps de rédiger pour la revue du Conseil Economique Wallon, des articles traitant du passé industriel de notre région, cela laisse rêveur. Son idéal, l'énumération de ses activités vous l'a fait deviner, c'est la justice sociale et, le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il a afit le maximum en ce sens. La lutte pour la fraternité ne sera jamais terminée pense-t-il.   Mais il est un autre aspect de Mr Spineux qui n'a pas encore été évoqué et pour lequel il a également mis tout son coeur : l'homme politique. Sollicité par Auguste CHAPELLE pour refaire une liste catholique en 1946, il est élu conseiller en janvier 47 et devient bourgmestre en avril 47; mandat qu'il exerce depuis presque 30 ans, c'est-à-dire la bagatelle de 5 mandats... excusez du peu ! Fait tout-à-fait rare, il remarue "à grands coups" les enfants des personnes que jadis il a mariées... quel plaisir pour un bourgmestre et lequel peut y prétendre d'ailleurs ?   Faisant toujours preuve d'esprit progressiste et ouvert, il a toujours été partisan de l'intercommunalisation... n'est-il pas un des fondateurs de l'Intercommunale des Eaux de la Molignée ! Il eut pour objectifs principaux d'aménager la voirie, la distribution d'eau et de faire profiter chaque habitant des portions de bois, problème désuet actuellement mais qui, à l'époque, était capital. En 47, n'a-t-il pas uniformisé les droits d'usage du bois des Masuys, ce qui est pour lui une de ses plus grandes réalisations politiques ?   Mr Spineux a toujours accueilli et aidé tout le monde, non sans dire à chacun cependant ce qu'il en pensait, car la franchise profonde étant une de ses grandes qualités.   En 1971, tenant compte des ciconstances de l'époque, il fut précurseur d'une certaine fusion des communes : Sart-Eustache, Le Roux, Aisemont, Vitrival, une mini-fusion en quelque sorte, mais, par contre, il fut farouchement adversaire d'une fusion avec Mettet... A cet égard, les événements lui ont donné sarisfaction.   Laissons-lui la parole pour terminer en citant une devise qu'il emprunte à Arthur MASSON et qu'il a fait sienne : "Le village natal est celui où l'on a connu l'amour...". |
Michel CHARLES |
PELOTE JEUNESSE VITRIVAL |
Le concours de cougnous organisé par la Pelote Jeunesse Vitrival chez Marius à la Noël a connu un très grand succès. Pour les 2 jours, 24 et 25 décembre, 33 séries ont été jouées (contre 25 séries l'année dernière). Nous vous présontons, ce mois, la photo de la division 3. Elle comprend : Debouts : Jacques PARENT, Désiré GALAND, Charles WIAME. Accroupis : Willy BERGER, Fernand LEDOCQ.  René BRACHOTTE |
F.C. VITRIVAL | |||||
L'heure des bilans au F.C. VITRIVAL.
Brefs comptes rendus. Namêche-Vitrival : 4-4 Un excellent résultat, somme toute inespéré. Après avoir été menés 4-1 à 2à minutes de la fin, les Jaunes et Bleus ont gardé leur calme face à des "sales gamins de pachis" et ont courageusement égalisé. Deux buts de Ch. DAMANET,1 de WANT, 1 de R. DEMEURE. Vitrival-Wartet : 0-3 Un score forcé, mais une victoire logique. Wartet a laissé une belle impression. Moignelée-Vitrival : 2-4 Le match qu'il ne fallait pas perdre et qui fut gagné. Après un départ laborieux, les Vitrivalois ont émergé. 2 buts de MARCHAL, 1 de WANT, 1 de PAVONE. ----------------------- Les fêtes de fin d'année et la trêve sportive qui les accompagne offrent l'occasion de dresser le bilan des différentes équipes. - L'équipe première, engagée dans une difficile et rugueuse 2ème provinciale a péniblement débuté face à des équipes pourtant à sa portée. Heureusement, elle a pu enlever quelques points face aux ténors de la série. Le 1er tour s'est terminé avec un acquis de 11 points sur 30, ce qui constitu malgré tout une légère déception car cette équipe possède des éléments qui valent plus que ce maigre avoir. Espérons que les leçons sont bien tirées et que la suite du championnat offrira de plus grandes satisfactions aux inconditionnels Jaunes et Bleus. - L'équipe des Juniors constitue, pour le Comité, une grosse déception. A l'exception de quelques joueurs qui tiennent le football et leur club, à coeur, les autres jouent, sans plus... et le comble est qu'ils se croient des vedettes... D'autres sont venus chercher un équipement et ne sont plus venus... - L'équipe des Scolaires présente un bilan plus encourageant. Ces garçons se battent tous les dimanches et leur tenacité sera récompensée. Il y a probablement, dans cette équipe, quelques joueurs qui, s'ils le veulent vraiment, constitueront l'indispensable relève.
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Benoît SPINEUX |
1er GRAND CONCOURS TEMPS-MORT | ||||||||||||||||||||||||
FORMULAIRE-REPONSE : N° d'abonné : ................... NOM : .................................................... PRENOM : ............................................... RUE : ..................................................... N° : ....................... CODE POSTAL : ....................... LOCALITE : ...................................................... Ce formulaire doit être renvoyé sous enveloppe affranchie comme lettre à Pierre PARENT - Concours TEMPS-MORT - Avenue Albert 1er, 23 - 5660 FOSSES, avant le 21 janvier 1977 à minuit, le cachet de la poste faisant foi. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Voici mes cotations : (sur 20)
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Question subsidiaire : Inscrivez dans le cadre ci-contre le nombre de participants au concours TEMPS-MORT. Pour information, le journal est tiré, pour le n° 5, à 215 exemplaires. Qu'il soit bien entendu que la question subsidiaire ne participe pas au concours en tant que telle : elle ne sera prise en considération qu'en cas d'ex-aequo de résultat des cotations). --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Fait à ..........................................., le ......................................... Signature du concurrent : --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Supplément gratuit au n° 5 su journal "TEMPS-MORT" du 6.1.77. REGLEMENT. 1. Le Concours de l'AN Neuf 1977 est ouvert à tous les abonnés du journal "Temps-Mort". 2. Le Concours comprend 12 cotations de 0 à 20 points des articles paraissant mensuellement dans le journal "Temps-Mort". 3. Les réponses devront nous parvenir, sur le formulaire-réponse, au dos duquel se trouve le présent réglement. 4. Pour être valable, le formulaire-réponse devra comporter le n° ainsi que le nom de l'abonné. Le signature de ce dernier devra figurer également sur le formulaire. 5. Chaque concurrnt ne peut envoyer qu'un seul formulaire-réponse. En cas d'ex-aequo, une épreuve supplémentaire pourrait départager les concurrents. 6. Les formulaires-réponses devront nous parvenir sous enveloppe affranchie au tarif des lettres, à l'adresse suivante : Pierre PARENT - CONCOURS TEMPS-MORT - Avenue Albert 1er, 23 - 5660 FOSSES. Les envois devront nous parvenir, à l'adresse ci-dessus, avant le 21 janvier 1977 à minuit, le cachet de la poste faisant foi. Les envois recommandés ou insuffisamment affranchis ne seront pas acceptés. 7. L'enveloppe ne pourra contenir que le formulaire-réponse, à l'exclusion de toute lettre ou communication. De mêm, il n sera donné suite à aucune correspondance concernant le concours. 8. Le dépouillement se fera publiquement le 22/1/77 à la Salle des Mariages de Le Roux (place communale). Cinq assesseurs seront tirés au sort parmi les abonnés présents le jour du dépouillement, avant le début de celui-ci. Début de la séance : 20 heures. 9. Les décisions du jury seront sans appel. 10. Les prix seront retirés au 23, avenue Albert 1er à 5660 FOSSES avant le 30 juin 1977 et ne pourront être échangés. 11. Le personnel de "Temps-Morr" ne peut participer à ce concours. 12. Le fait de participer à ce concours suppose l'acceptation, sans réserve, de toutes les conditions du présent réglement. | ||||||||||||||||||||||||
La rédaction |
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